INNOVIRIS: FORMULAIRE TEST YOUR IDEA
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14 JANVIER 2021
RÉDACTEURS
Christian MAREST
Pierre SEEGER
- DESCRIPTION DE LA SITUATION ACTUELLE
- ACTIVITÉS DE L’ENTREPRISE ET MARCHÉ ACTUEL
- 2005 – 2009 : activités pré – presse, « web – design » et « services – support » d’hébergement et de maintenance de sites internet ; consultance en communication stratégique dans la société 3BIZNET, dont la filiale est SEMIO – TIC.
- 2010 – 2019 : la société 3BIZNET s’est recentrée sur des activités de consultance internationale en « management stratégique » et en « management participatif » d’entreprises ; la société est gérée alors par un unique actionnaire (Pierre SEEGER) qui la met volontairement en sommeil pour pouvoir se consacrer à ses activités de recherche sur la méthode « Interactive SWOT Matrix » ; cette R & D sera nichée en 2020 au sein de la société SEMIO - TIC.
- 2020 : rencontre cruciale à Bruxelles de M. Christian MAREST : la méthodologie ISM peut se transformer en une application logicielle, pilotée par l’intelligence artificielle (IA // moteur bergsonien d’inférence 1) ; nous avons la volonté de développer la méthode « ISM » en une suite logicielle qui intègre cumulativement la veille d’intelligence économique (IE) le management participatif (IC)et l’intelligence managériale (IM // modules de « risk management » ; module « GRH », modules de calcul matriciel et statistique) ; SEMIO – TIC devient la « start – up » à haut potentiel.
- TYPE DE REVENUS GÉNÉRÉS PAR ACTIVITÉ ET BUSINESS MODEL
Nous allons conforter 3BIZNET sprl en publiant des nouveaux statuts (srl // nouvelle législation) adaptés à sa vocation de marketing et de commercialisation de la suite logicielle « ISM » ; nous allons créer la société « SEMIO – TIC » en janvier 2021 qui sera chargée de la R & D (R & D de prototypage de l’application « ISM » ; recherches complémentaires en vue de créer les versionnages futurs) :
- produit « PERSO » (marché B to C) : le type de revenus générés seront ceux de « crowfunding » et des revenus publicitaires sur internet et les médias sociaux
- la vente directe par internet de notre produit « BASIC » {marché B to B « glocal » (indépendants et TPE) + extensions au secteur public et non – marchand)}
- la vente directe et indirecte (force de vente 3BIZNET) de notre produit « PRO » sur un marché « glocal » B to B (PME / PMI) et ses modules complémentaires payants (GRH, Risk management ; …) via une version installable d’ISM (serveur FTP)
- La vente indirecte (distributeurs tiers) de notre produit « ULTIMATE » {marché glocal B to B (GE et multinationales)}, installable sur le réseau informatique du client ; elle intègre toutes les options et effectue un comparatif objectif / subjectif que de multiples analyses comparatives {calculs par strates RH et analyse de synthèse ISM à partir des analyses spécifiques : « moyenne » ; « bad & best résults », analyse « S – W – O – T », « Peer review », « balances Up & Down », analyse « relationnelle », analyse des « symétries » (verticale, horizontale, obliques)}.
NB) les produits « PRO » et « ULTIMATE » sont des produits dits de « consultance outillée.
- TYPES DE PRODUITS/SERVICES FOURNIS
- Produit « PERSO » : un produit « ludique » permettant de mieux se connaître de par la transformation des items SWOT en paramètres spécifiques : forces et faiblesses de l’individu et relationnel positif et négatif
- Produit « BASIC » : le produit « de base », destiné au management de tous types de projets et permettant une évaluation qualitative et quantitative OU au management stratégique de petites entités
- Produit « PRO » : le produit dédié à l’ « aide à la décision » qui intègre le management de l’ « intelligence collective » (IC = management participatif)
- Produit « ULTIMATE » : produit optimisé de « management stratégique » qui englobe le module de « GRH » de même que le module de « Risk Management »
- PROBLÈME IDENTIFIÉ
Les « matrices de management stratégique », notamment en matière de « diagnostic stratégique » pêchent par manque de précision et de malléabilité ; l’adéquation des ressources internes (forces / faiblesses) qui représente la stratégie « réalisable » avec l’environnement (opportunités / menaces) qui représente la stratégie « souhaitable » ne peut être efficacement réalisée.
En effet, observons les matrices respectives de management stratégique :
- MATRICE « SWOT »: inopérante (// simple listing de S, W, O et T)
- MATRICE « TOWS »: limitative (seulement 4 scénarios stratégiques), confuse (on croise plus de 2 variables entre elles) et dépassée: elle n’offre pas d’automatisation
- MATRICE « SOAR »: parcellaire, suppression des faiblesses et des menaces
- MATRICE « LCAG »: ardue, traitement manuel (pas d’IA)
C’est pourquoi, nous proposons de « nouvelles matrices » (fruit d’un travail de R & D en sémiologie sur le « carré d’Aristote ») :
- MATRICES « SWOT² » (SWOT x SWOT) : elle est utilisable en temps « normal »
- MATRICE « TOWS² » (TOWS x TOWS) : elle est préconisée par temps de « crise »
Ces deux nouvelles matrices, qui forment l’ossature de notre suite logicielle « ISM » sont :
- PERFORMANTES : en vertu de leur « optimisation » {new LCAG: processus logiciel intégrant « LCAG » (SWOT & TOWS ) + SOAR} ; leur aspect « collaboratif » (IC = management participatif) et leur « modernisation » {automatisation et introduction de l’Intelligence Artificielle(IA)}
- EFFICIENTES grâce à un « système expert » (= génie logiciel // travaux d’ingénierie système) qui inclut, en outre, l’« intelligence économique » (IE = « MOVIE » pour Management Opérationnel de la Veille d’Intelligence Economique), et l’ « intelligence managériale » (IM = aide à la décision // module de « Risk management », module de « GRH », modules de calculs matriciel & statistique
- ETAT DE L’ART TECHNIQUE GÉNÉRAL
Les stratégies de remédiation à cette impossibilité d’adéquater convenablement la « stratégie réalisable » avec la « stratégie souhaitable » et qui, pourtant, constitue l’essence même du « diagnostic stratégique », consistent en :
- L’utilisation proactive d’une « stratégie de retournement » (essai d’ajustement des ressources internes par rapport à l’environnement)
- L’utilisation d’une « stratégie participative » (la méthode SOAR avec S = ce qui est ; O = ce qui pourrait être ; A = aspirations (ce qui devrait être) et Résultats = (ce qui sera), qui fait fi des paramètres négatifs (faiblesses et menaces)
3BIZNET a recouru, lors de ses missions de consultance internationale en stratégie d’entreprise, à des « méthodes participatives » telles que le Plan Stratégique Participatif (PSP), la méthode ORID (observation, réflexion, interprétation, décision),la méthode OMABI (Objectifs – Méthode – Actions – Budget – Indicateurs : ex - EUROCONSULTANTS) la méthode du Diagnostic Court Appliqué à la stratégie (IFEAS) afin de pallier l’insuffisance des outils stratégiques généralement proposés (SWOT, TOWS, SOAR, LCAG,…)
- CONCURRENCE
Une recherche des logiciels similaires sur internet nous fait dire qu’aucun d’entre eux ne réalise la complexité des analyses suggérées par ISM, ni n’établit de lien avec le principe d’implication, même partiel, des RH.
La typologie s’établit autour de 2 types de logiciels :
- « MIND MAPPING » SWOT : élaboration de l’arborescence des variables SWOT, sans aucune analyse.
- « LOGICIEL TOWS SYSTEM » (ex : MANAGER-PRO) : analyse réduite à seulement 4 matrices de confrontation des paramètres internes et externes et donc à 4 scénarios stratégiques : offensif, ajustement, défensif, survie
Ce type de système « ISM » n’existe pas encore. Il est important de souligner ici que, dans sa forme primitive et non efficiente, le SWOT classique n’a pas même évolué depuis sa création dans les années 60.
Nous pouvons dès lors affirmer que le système proposé de logiciel « ISM » serait, à ce jour,
- « unique » (car il intègre cumulativement l’IA, l’IC, L’IE, l’IM)
- « novateur » (innovation de valeur)
- « efficient » (puissance de calcul, simplicité d’utilisation, adaptable à d’autres champs que le management stratégique)
- « extensible » (à l’ensemble des matrices de management pour autant que l’on abolisse l’effet de subsidiarité et de polarité des items constitutifs)
- DESCRIPTION DE LA SITUATION FUTURE
- ARCHITECTURE ET FONCTIONNALITÉS NOUVELLES
La méthode de développement utilisée sera la méthode « COCOMO ». (Constructive Cost Model .1981 Dr Barry Boehm).
La méthode COCOMO est issue du « modèle en spirale » pour la planification des projets qui définit quatre cadrans dans chaque spire dont un seul pour le développement et trois pour la gestion du projet. (au moindre Coût).
Le modèle COCOMO s'appuie sur une estimation de l'effort en homme*mois (HM) calculée par la formule: Effort = C x M x T x S où :
- C = facteur de complexité
- M = facteur multiplicateur
- T =Taille en milliers de lignes de code source livrées (KDSI)
- S = le plus proche de 1
Pour ISM, selon la méthode « COCOMO » (COnstructive COst MOdel) ; nous avons estimé l’ « effort » dans une fourchette de 11 mois à 12 mois de travail (annexe : schéma de GANTT) en fonction des ressources humaines affectées au projet à plein temps (3 personnes).
ISM PRO est un noyau (KERNEL) composé de 18 parties (définies par des WP).
Ce KERNEL est la base de tous les produits de la suite logicielle ISM.
La fabrication de nos 4 produits « ISM » (PERSO, BASIC, PRO et ULTIMATE) correspondra, en général, une ou plusieurs modifications sur une ou plusieurs de ces 18 parties.
Le descriptif des fonctionnalités comprend 3 parties : Les « fonctions de base » ; la fonction de « module d’audit » et les « fonctions externes associées » .
- Fonctionnalites (en fonction des « workpackages »)
Les fonctionnalités, réparties en fonction des modules développés, seront agencées de manière telle que l’utilisateur lambda utilisera notre application logicielle de manière « intuitive » (pas de structure arborescente complexe).
- Fonctions de base
- WP 1 : « splash screen » : cette fonction permettra à l’utilisateur d’initier le logiciel ISM
- WP 2: « écran d’accueil » : cette fonction sera affectée aux « datasources » et aux « dataqueries » et intégrera les fonctions TOGGLE (oui/ non / pas d’avis).
- WP 3: « écran de paramétrage et de définition des rôles » : cette fonction concernera la gestion des projets ; il s’agira de donner au SU (Super Utilisateur) , la possibilité de créer un projet , de le sauvegarder, de le renommer voire de l’effacer sous certaines conditions. Elle concernerait également la visualisation des rôles affectée à l’utilisateur connecté qui fluctuera en fonction de la matrice réelle décidée lors de la définition des rôles. Elle intégrera le bouton « Instructions » (ajout d’un éditeur de texte minimaliste) ainsi que les « captures d’écran » (ajout au code la librairie de stockage utilisée dans UNITAGREG). La sous - fonction « instructions conservera le procès-verbal fait au moment de la définition des rôles ; ce PV devra être visible pendant le l’INPUTING, le SCREENING et le MATCHING et pour le SU pendant la modélisation.
- WP 4: « écran barillet » (diagramme) : cette fonction consiste pour l’essentiel en la disposition des cercles « opérateurs » lorsque le nombre de participants est soit pair ou soit impair et ce, jusqu’à 1 seul opérateur ; il associera également des fonctions avancées de communication (« chat » et visioconférence)
- WP 5: « écran chemin de fer » (ISM) : cette fonction permettra durant toutes les phases de participation des utilisateurs (inputing, sceening et matching) d’harmoniser le process en fonction de la charge de travail.
- WP 7: « écran screening » : Cette fonction correspond au vote de chaque utilisateur sur l’ensemble des propositions émises (exception faite de celles émises par chaque utilisateur)
- WP 8 : « écran modeling » : cette fonction permettra de modéliser tant la pertinence des propositions de variables (screening) que la pertinence des corrélations des variables (matching), en fonction de la matrice SWOT² (usitée en temps « normal ») ou « TOWS² (usitée en temps « de crise ») au moyen de 2 barres d’ajustement : une supérieure permettant d’harmoniser les résultats obtenus en écrémant les résultats supérieurs ; une inférieure permettant d’harmoniser les résultats obtenus en écrémant les résultats inférieurs. Cette fonction est essentielle en raison du suivi d’une logique ternaire (logique floue avec des résultats positifs, négatifs et indécis) qui nous permettra de traiter les données (subjectives car émanant des participants), selon la théorie du « signal »
- WP 9: « écran matching » : cette fonction, issue de la méthode « LCAG », permettra à chaque utilisateur, en fonction du paramétrage (taille) de la matrice de travail, de donner son avis sur l’ensemble des corrélations de variables prise 2 à 2 (oui = corrélation existante ; non = absence de corrélation ; ? = je ne sais pas me prononcer) ; à l’issue du remplissage de la matrice (examen de l’ensemble des corrélations proposées) ; un bouton « agrégation » permettra d’agréger l’ensemble des résultats individuels du matching et constituera notre matrice définitive à partir de laquelle s’effectueront tous les calculs qui vont générer le « rapport » individualisé pour chaque projet mené (URIAS).
- Les fonctions d’audit et d’édition de rapports
- WP 10: « écran pré – processing » : cette fonction sera dédicacée à l’ensemble des opérations de calcul matriciel effectuées sur la base des analyses spécifiques ISM (méthodologie ISM) : analyses génériques (ligne – colonne, matricielle, inputs symétriques, …) + analyse des variantes (aux analyses génériques) + analyses comparées (entre analyses génériques) + 9 sous – analyses communes {moyennes, bad & best values, S – W – O – T, « peer review », balances up & down, analyse relationnelle ; analyse des symétries (verticale, horizontale, obliques)}
- WP 11: « écran outputing » (reporting) : le reporting sera intégralement soutenu par notre logiciel d’Intelligence Artificielle (IA) ; de la sorte, les rapports « automatisés » déboucheront sur un set de conclusions et recommandations sur le diagnostic stratégique (+ discussion et évaluation des scénarios stratégiques en fonction de paramètres « GRH » et « financiers » (« Risk Management ») + positionnement stratégique ; ce rapport « préformaté », soit en fonction du modèle proposé, soit en fonction du souhait du Super – utilisateur, intégrera notamment des tableaux de synthèse (mathématique et statistique), des graphes de synthèse, des rapports d’analyses tendancielles, etc., soit un set concret complet d’outils de facilitation du management stratégique (aide à la décision !)
- WP 12 : « écran post – processing » (normalisation) : cette fonction permettra d’effectuer le comparatif entre objectif (Urias) et subjectif (participants) ; d’effectuer le comparatif entre strates d’utilisateurs (internes et / ou externes à l’entreprise) ; de réaliser le comparatif entre plusieurs projets,… et tout cela en raison du caractère spécifique du logiciel d’intelligence artificielle usité ( de type bergsonien et d’ « inférence 1 ») permettant le chaînage avant, le chaînage arrière et l’analyse post – processuelle selon des prédicats)
- Fonctions externes associées
- WP 13: « module URIAS » : cette fonction d’intégration du logiciel d’intelligence artificielle viendra soutenir l’ensemble du processus ISM (Inputing – Screening – Modeling – Matching – Processing – Outputing) et permettra de générer, pour chaque projet traité, un rapport « différencié » au niveau du management stratégique, de la « GRH » et de la « finance » (Risk Management)
- WP 14: « module BABOOLKA » : cette fonction a pour but d’intégrer un module « interpréteur homme - machine » ; il assurera la liaison URIAS et ISM Pro
- WP 15: « module MOVIE »: (intelligence économique) « établissement du profil d’intérêt »
- WP 16: « module MOVIE »: (intelligence économique) « transformation en consignes de recherche »
- WP 17: « module MOVIE »: (intelligence économique) « réception résultats » (classement, catégorisation)
Note : Ces modules ne requérerons pas de développements spécifiques car ils sont issus d’une recherche précédente d’un produit IPSOMAP (intelligence économique) qui sera simplement adapté au process ISM.
- WP 18: « Programmation spécifique »: cette fonction aura pour but d’intégrer les « modules spécifiques » : de « calcul » (matriciel, statistique et spécifique ISM) ; d’analyse « GRH » (Quinn, test de Hersey – Blanchart, pyramide ISM) ; d’ « analyse financière » (Risk Management) et de prévoir des « modules complémentaires » (versionnages futurs) tels que l’ « hyper cube sémiotique », l’extension du nombre d’utilisateurs, etc.
- DÉFIS TECHNIQUES ET PROGRAMME
- DÉFI TECHNIQUE
- Intégration du Système expert URIAS, à des fins d’analyse et de pronostics d’entreprise mais aussi la constitution de consignes de veille en partant du même IHM.
- Introduction de calcul tensoriel afin de définir les attractions des items entre eux mais aussi pour l’analyse de risques.
- Analyses spectrales des raies d’information et d’y appliquer des filtres atténuateurs et / ou amplificateurs selon les lois d’analyses discrètes de Fourrier.
- Introduction de la logique ternaire (floue) pour l’analyse, les recommandations, les prises de décisions et l’analyse spectrale.
- SET DE DONNÉES
- Environnement issu de la modélisation, l’agrégation, le dépouillement des votes, le croisement des variables prises deux à deux
- Calcul bipolaire pour désensibiliser le système face à des inputs subjectifs
- L’analyse de cohérence des données par la création de matrices unitaires prises aléatoirement sur le « matching » (comportemental)
- L’auto - apprentissage du Super Utilisateur par la collecte des inputs et des votes
- Usage de base de données de données non spécialisées, voire les plus simples du marché (Access).
- TESTING
- Auto - analyse de cohérence,
- Parallélisme des calculs par algorithmes différents et finalement couplés.
- Rétrocouplage par la modélisation des votes et « inputing » sur la configuration initiale du système ISM.
- Compatibilité des langages de programmation des modules utilisés (C++, SOAP, REST, …)
- KPI
- Le poids des softs devrait être extrêmement optimisé au point de fonctionner en environnements embarqués.
- Sécurité et protection des données, d’accès et connexion réseau.
- Schéma de Gantt (PERT) sur 11 mois (démarrage T0) avec Selim, Pierre et Christian
- Interopérabilité entre modules et environnement externes
- Ergonomie logicielle (parcours intuitif) et visuelle de la suite logicielle ISM
- Extension, dans le futur, de l’application logicielle « ISM PRO » à l’ensemble des matrices de management (abolition du double effet de polarité et de subsidiarité des variables spécifiques au modèle « SWOT)
- Optimisation des versions ultérieures de l’application logicielle « ISM » par l’adjonction de modules complémentaires : « GRH », « analyse des risques »
2.3 VALORISATION ÉCONOMIQUE
Par rapport aux 3 piliers du « business model » : nous avons déjà défini notre « proposition de valeur » (= notre offre de produits ISM) ; quant à l’ « architecture de valeur », elle est traitée au point précédent « défis techniques et programme » et sera complétée au point suivant « budget et ressources humaines du projet de R & D » ; enfin l’ « équation du profit » (= source de rentabilité) qui associe CA (chiffre d’affaire) et coûts/ capitaux engagés, sous forme de « ratio », nous le livrerons en fin de présentation du projet « ISM ».
Notre projet « ISM » (SEMIO – TIC / 3BIZNET) présente incontestablement des « facteurs clés » de « disruption » qui transformera les « business model anciens » en un « business model » nouveau » :
- les « consommateurs »: nous répondrons à des clients plus exigeants, plus volatiles, mieux informés, moins fidèles à une marque et désireux de couper court aux rapports coûteux et formatés en provenance des « big four ».
- les « concurrents »: SEMIO – TIC, se présentant comme une « start – up » à haut potentiel s’inscrit dans la lignée de jeunes entreprises, plus efficaces et plus agiles qui viennent disrupter chaque pan de l’économie et en particulier celui des NTICs
- la « distribution »: nous saisirons les opportunités qu’offrent la multiplication des canaux, l’intelligence artificielle, le big data et l’économie de partage.
- la « production »: nous adapterons les process et les méthodes de production en intégrant les nouvelles technologies (IA, IC) pour accélérer le développement de produits et services.
- la « régulation »: nous serons conformes aux nouvelles règlementations, plus strictes, auxquelles sont soumises le secteur des TIC
Notre « business model », unique et polymorphe, s’inspire des modèles suivants :
- le modèle « FREEMIUM » : du gratuit au payant à forte valeur ajoutée; la stratégie freemium consiste à faire adhérer un maximum de personnes à un service gratuit pour les rediriger ensuite vers un service payant plus complet, avec des fonctionnalités à forte valeur ajoutée.
- logique 3BIZNET: ISM se déclinera en une « gamme de produits » à « valeur ajoutée croissante »:
- « ISM BASIC » = produit d’appel
- « ISM PRO » = version pluri – postes (valorisation IC)
- « ISM ULTIMATE » = produit intégrant de nombreuses fonctionnalités à forte valeur ajoutée
- le modèle de l’ « ABONNEMENT » : payer pour l’accès plutôt que la possession ;dans ce modèle, ce n’est pas le produit qui a de la valeur mais son utilisation.
- logique 3BIZNET: nous ferons clairement une césure entre :
- nos produits de moindre valeur « ISM PERSO » (gratuit) et « ISM BASIC » (1.000 € de base) qui seront offerts ou vendus en « one shot » et
- nos produits à haute valeur ajoutée « ISM PRO » (5.000 € de base) ET « ISM ULTIMATE » (18.000 € de base) qui seront distribués sous forme de « location de services » (// consultance outillée)
- le modèle « DATA-DRIVEN » : smart data et objets connectés ou le comment utiliser (et rentabiliser) les énormes quantités de données qu’elles recueillent.
- logique SEMIO - TIC: on ne vendra pas nos « big data » à des clients tiers du fait que ces datas sont particulièrement sensibles (stratégie) ; en revanche, on va utiliser les « big data » à l’amélioration de l’expertise de notre système URIAS / ISM (en vue de l’automatisation de tout le processus stratégique (utilisation conjointe du SEO «) ET de la confrontation du système participatif subjectif et de l’objectivité de notre logiciel IA couplé au SEO
- le modèle de l’ « ÉCONOMIE COLLABORATIVE » : de la mise en relation directe à la co -création de masse et cela se déploie tout au long de la chaîne de valeur :
- « crowdsourcing »: pour collecter les avis clients pour co-construire un produit ou service
- « crowdfunding »: pour lever des fonds
- « crowdretailing »: pour faciliter la distribution via les market places et communiquer via les réseaux sociaux
- « crowdshipping »: pour faire transporter les colis par des particuliers
La désintermédiation est le maître mot de ces modèles collaboratifs, centrés sur l’utilisateur, qui accordent une importance primordiale à l’expérience utilisateur et à la fidélisation des clients.
- LOGIQUE 3BIZNET & SEMIO - TIC: les 3 premiers modes cités seront exploités: « crowdsourcing » (retour utilisateur) « crowdfunding » (recherche de fonds); et « crowdretailing » (via la communication sur les réseaux sociaux + médias).
L’impact financier sur la société 3BIZNET sera de fournir des produits (PERSO et BASIC) et des services à haute valeur ajoutée (PRO ET ULTIMATE) qui vont conforter nos activités de consultance en « management stratégique » tout en facilitant notre « networking » (recours à l’intermédiation de réseaux de consultants) et l’amélioration de notre Chiffre d’affaires (CA).
- BUDGET ET RESSOURCES HUMAINES SUR LE PROJET
Trois personnes seront affectées au développement et à la conversion du concept « ISM » en une suite logicielle « ISM » commercialisable courant du dernier trimestre 2021 voire début 2022.
L’équipe de recherche est composée de deux chercheurs seniors et d’un assistant de recherche junior :
- Pierre SEEGER : licencié en criminologie, consultant international en stratégie d’entreprise, ex - chercheur à l’ULB et inventeur de la méthode « ISM », consécutivement à ses travaux en sémiologie appliquée au management.
- Christian MAREST : ingénieur civil spécialisé en architecture système et licencié en linguistique ; il a travaillé à la NASA et a ensuite développé un « SEO » baptisé IPSO – MAP
- Selim TEKIN : Ingénieur civil - spécialisation électromécanique/robotique, il a travaillé chez Alstom Belgique comme Ingénieur Design et va nous apporter une aide au développement du produit « ISM » (recherche et codage)
P. SEEGER et C. MAREST ont convenu de facturer leurs prestations horaires à 25 € (HTVA) à SEMIO – TIC tandis que Selim TEKIN bénéficie d’un contrat de salarié à 1.400 € brut par mois (dans le cadre de l’exonération totale des charges patronales pour le 1er salarié d’une entreprise) ; son contrat, démarrant au 15 / 12 / 2020, est fait sous l’égide de 3BIZNET
Le coût estimé pour le team de recherche est de :
- Seniors : 25 € x 40 heure / semaine = 4.000 € / mois + TVA = 4.840 € par chercheur ce qui fait donc, pour les 2 chercheurs, un montant total de 9.680 € / mois, soit un montant total de 116.160 € / an (indexé de 2% par an en 2022 et 2023)
- 2021 : 116.160 € / an
- 2022 : 118.483 € / an
- 2023 : 120.853 € / an
- 2020- 2021 : 1.400 € brut / mois x 13,7 (double pécule de vacances + prime de fin d’année) = 19.180 € / an
- 2022 : 1.600 € net / mois = 1791 € brut / mois x 13,7 (double pécule de vacances + prime de fin d’année) = 24.537 € / an
- 2023 : 1.800 € net /mois = 2.557 € brut / mois x 13,7 (double pécule de vacances + prime de fin d’année) = 35.031 € / an
Cette approche n’englobe pas d’autres frais que la R & D requise pour fournir la version commercialisable par 3BIZNET du logiciel « ISM » ; nous verrons ultérieurement si nous pourrons charger d’autres types de dépenses (frais d’établissement, frais notariaux et de juriste, loyer, matériel, …).
2021 en €
2022 en €
2023 en €
Coûts R & D pour
2 seniors
(facturation indépendant)
116.160
-
-
Coût 1er salarié junior
-
-
-
COÛT TOTAL R & D
(SEMIO - TIC)
-
-
-
BENEFICE annuel net (après impôt)
(SEMIO - TIC)
+ 56.069
+ 305.575
+ 977.365
-
Coût / bénéfice
241 %
47 %
16 %
Etant donné qu’en 2021, SEMIO – TIC devrait facturer à 3BIZNET le coût annuel de la R & D, soit 135.340 €, mais, qu’en 2021 3BIZNET devra également rembourser à Pierre SEEGER les avances consenties (+ arriérés) pour un montant total de 125.000 €, il est probable que SEMIO – TIC reportera cette facturation sur l’année 2022 : 135.340 + 143.020 = 278.360 € / bénéfice net (305.575 €) = ratio de 91 % du bénéfice affecté à la rémunération de l’équipe de R & D.